Thanksgiving
Thanksgiving c'est comme Noël pour les américains : on fait la fête et on rentre tard à la maison.
Historiquement, c'est un peu pour célébrer la première fois (début du XVIIe siècle) que des colons ont eu bon espoir de passer l'hiver en perdant un peu moins de 95% de la population de leur colonie... oui les temps étaient durs. Il parait qu'ils n'avaient ni air climatisé ni I-Phone. La lose totale ! J'ai bien fait de naître en 2011.
Cette année, on a été chez Amélie, Aymen et Maya. Moi j'adore ! Maya c'est ma super copine : on court en criant dans tous les sens, on fait du hamac ensemble (super le hamac ! je recommande), on se colle des autocollants dessus (et surtout sur les parents...), on se prête des jouets et cette fois, on a même failli faire notre sieste en même temps. Bon en fait j'ai pas voulu : il faisait super beau alors je suis allé me lover dans les bras de mon papa qui prenait le soleil dehors pendant qu'il jouait à un jeu hautement culturel avec les autres grands. Ça s'appelle "Jungle Speed", le jeu. Il faut attraper au bon moment un morceau de bois au milieu de la table et donner toutes ses cartes aux autres joueurs pour gagner. Ça crie, ça rigole, ça s'écrabouille les doigts, bref c'est un jeu super !... Moi, j'ai suivi pendant quelques tours et puis à force de bailler et de regarder l'intérieur de mes paupières j'ai fini par m'endormir. Du coup on m'a déposé dans mon lit parapluie (qui n'a pas du tout, mais alors pas du tout ni la taille ni la forme d'un parapluie...) et les grands ont pu rester entre grands pendant... une bonne demie-heure. Après j'ai rouvert les yeux et j'ai bien compris que je n'étais plus ni avec maman, ni avec papa, et ça, ça ne m'a pas plu du tout !! Je l'ai dit ouvertement ! Et à force de dépasser le seuil raisonnables de décibels dans une maison digne de ce nom, ô miracle ! ma maman est apparue ! Maya qui était pourtant juste à coté de mon lit a continué à dormir. Ensuite on a fait la danse des étoles : on avait chacun deux espèces d'écharpes et on les agitait dans tous les sens, plus ou moins en rythme avec la musique. On a aussi dansé sur la musique de Madagascar (move it !) et comme les piles du flash de papa avaient rendu l'âme et qu'on était plein d'énergie, les photos sont un peu floues...
Normalement, Thanksgivings se fête plus ou moins au moment du déjeuner. Cette année, comme Amélie était sur le point de faire un petit frère à Maya (chic, un copain en plus !) on a décidé qu'on ne resterait pas trop tard et que tout le monde aiderait à faire le repas sur place (chez eux). Du coup ça a été salade, dinde, crumble de fruits exotiques et mousse au chocolat pour midi et soupe et restes du déjeuner en souper. C'était drôlement bon ! J'ai mangé de tout, même si papa a du me faire un peu les gros yeux pour que je mange ma soupe. Mais au final j'ai tout bien fait alors j'ai eu droit à plein de câlins (de toutes façons, même quand je ne fais pas tout super bien, ils m'en font quand même : ils ne peuvent pas s'empêcher, mes gagas de parents). Le soir je me suis endormi bien sagement. Ça tombait bien parceque les parents baillaient au moins autant que moi !
Voilà, sur ce je vais aller dormir un peu pour prendre des forces pour ma longue journée de demain !
Historiquement, c'est un peu pour célébrer la première fois (début du XVIIe siècle) que des colons ont eu bon espoir de passer l'hiver en perdant un peu moins de 95% de la population de leur colonie... oui les temps étaient durs. Il parait qu'ils n'avaient ni air climatisé ni I-Phone. La lose totale ! J'ai bien fait de naître en 2011.
Cette année, on a été chez Amélie, Aymen et Maya. Moi j'adore ! Maya c'est ma super copine : on court en criant dans tous les sens, on fait du hamac ensemble (super le hamac ! je recommande), on se colle des autocollants dessus (et surtout sur les parents...), on se prête des jouets et cette fois, on a même failli faire notre sieste en même temps. Bon en fait j'ai pas voulu : il faisait super beau alors je suis allé me lover dans les bras de mon papa qui prenait le soleil dehors pendant qu'il jouait à un jeu hautement culturel avec les autres grands. Ça s'appelle "Jungle Speed", le jeu. Il faut attraper au bon moment un morceau de bois au milieu de la table et donner toutes ses cartes aux autres joueurs pour gagner. Ça crie, ça rigole, ça s'écrabouille les doigts, bref c'est un jeu super !... Moi, j'ai suivi pendant quelques tours et puis à force de bailler et de regarder l'intérieur de mes paupières j'ai fini par m'endormir. Du coup on m'a déposé dans mon lit parapluie (qui n'a pas du tout, mais alors pas du tout ni la taille ni la forme d'un parapluie...) et les grands ont pu rester entre grands pendant... une bonne demie-heure. Après j'ai rouvert les yeux et j'ai bien compris que je n'étais plus ni avec maman, ni avec papa, et ça, ça ne m'a pas plu du tout !! Je l'ai dit ouvertement ! Et à force de dépasser le seuil raisonnables de décibels dans une maison digne de ce nom, ô miracle ! ma maman est apparue ! Maya qui était pourtant juste à coté de mon lit a continué à dormir. Ensuite on a fait la danse des étoles : on avait chacun deux espèces d'écharpes et on les agitait dans tous les sens, plus ou moins en rythme avec la musique. On a aussi dansé sur la musique de Madagascar (move it !) et comme les piles du flash de papa avaient rendu l'âme et qu'on était plein d'énergie, les photos sont un peu floues...
Normalement, Thanksgivings se fête plus ou moins au moment du déjeuner. Cette année, comme Amélie était sur le point de faire un petit frère à Maya (chic, un copain en plus !) on a décidé qu'on ne resterait pas trop tard et que tout le monde aiderait à faire le repas sur place (chez eux). Du coup ça a été salade, dinde, crumble de fruits exotiques et mousse au chocolat pour midi et soupe et restes du déjeuner en souper. C'était drôlement bon ! J'ai mangé de tout, même si papa a du me faire un peu les gros yeux pour que je mange ma soupe. Mais au final j'ai tout bien fait alors j'ai eu droit à plein de câlins (de toutes façons, même quand je ne fais pas tout super bien, ils m'en font quand même : ils ne peuvent pas s'empêcher, mes gagas de parents). Le soir je me suis endormi bien sagement. Ça tombait bien parceque les parents baillaient au moins autant que moi !
Voilà, sur ce je vais aller dormir un peu pour prendre des forces pour ma longue journée de demain !

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