Noël 2012 à Toulouse (3ème acte)
On en était où déjà ? Ah oui...
Nous avions donc fait un restau sympa avec des serveurs moyennement aimables (parait que c'est la marque de fabrique de la restauration française...) puis nous étions finalement rentrés à l'hôtel, histoire de récupérer de ces longues heures de voyage.
Bon cette fois, quand je me suis réveillé, on était bien le matin. Comme quoi le fait de prendre l'avion n'avait pas complètement perturbé le cycle solaire... les mayas ont vraiment dit n'importe quoi. D'ailleurs on était le jour de l'apocalypse (now) et il y avait bien un peu de ciel gris mais franchement on sentait bien que les ténèbres avaient décidé de s'abattre un autre jour. Elles devaient glander à regarder Tina Fey en train de se payer la tête de Sarah Palin sans doute, les ténèbres ! Mais bon, apocalypse ou pas, mes parents chéris pensent à tout en toutes circonstances, et j'avais donc un bon biberon de lait chocolaté qui m'attendait. Ouf ! Je ne sais pas pour la guerre de Troie, mais la fin du monde, elle, n'aura pas lieu. Pas aujourd'hui en tout cas. Tant qu'il y aura des biberons de lait au chocolat, c'est que le monde continuera de tourner comme il faut !
Bref, une fois levé, bichonné, habillé et guilité de la pointe de l'orteil droit au lobe auriculaire gauche, nous revoilà partis en vadrouille avec marraine. Direction : un parc à toboggan/mur d'escalade/balancoires/vomi ... oui... le vomi c'était pas le mien donc on a décidé que ça craignait de me laisser patauger dedans, et comme il était l'heure de récupérer la voiture de location, nous sommes tous partis vers la gare. Là, papa a récupéré les clés du carrosse (6 vitesses et des portes arrière qui s'ouvraient pas dans le sens normal !) et nous sommes partis naviguer dans les sens uniques toulousains. J'ai fait un petit somme et quand je me suis réveillé, les parents avaient transféré leurs (lourdes) valises dans le coffre et marraine partaient retrouver son chéri.
Après quelques hésitations légitimes ("pourquoi le GPS nous dit de prendre un sens interdit ?") et interrogations profondes et existentielles ("Y a pas la voix de Dark Vador pour indiquer la route ?"), nous avons donc pris la route de Montauban (vers le Nôrd !)... que nous avons dépassé (mais c'était voulu !) puis avant de rencontrer des nours polaires (que j'adore ! si vous voulez voir une vidéo de nours, allez ici, je me la passe en boucle, on y voit plein de Nours blancs !!!) nous avons tourné à droite et au bout du chemin... nous avons fait demi-tour (là c'était pas fait exprès, je l'ai bien senti : y avait comme un micro-climat lourd de menaces qui planait soudainement au-dessus du GPS, comme si après toute cette complicité acquise au fil des tournants, cette petite erreur de navigation remettait tout en cause) et sommes arrivés au gite !
Et là, figurez-vous qu'il y avait déjà des gens dedans... papi et mamie ! Ah oui et puis un drôle de chien tout plat qui s'appelle Alya. C'est pratique, elle fait balai en passant... Du coup j'ai fait des câlins, des sourires et des bisous... et j'ai eu peur de la serpillère à pattes... mais bon, pas longtemps.
Alors les gites c'est cool. C'est un peu comme l’hôtel mais en mieux parce que je peux crier, courir jouer sans que personne fasse un bruit de cocotte minute (chhhhhhhhut). D'ailleurs j'ai commencé par escalader un fauteuil puis un canapé avant de réclamer un peu à boire. C'est que ça creuse la route !
Bon allez, je vous raconterai la suite plus tard ... que de suspense !
5- Toulouse - gite
Nous avions donc fait un restau sympa avec des serveurs moyennement aimables (parait que c'est la marque de fabrique de la restauration française...) puis nous étions finalement rentrés à l'hôtel, histoire de récupérer de ces longues heures de voyage.
Bon cette fois, quand je me suis réveillé, on était bien le matin. Comme quoi le fait de prendre l'avion n'avait pas complètement perturbé le cycle solaire... les mayas ont vraiment dit n'importe quoi. D'ailleurs on était le jour de l'apocalypse (now) et il y avait bien un peu de ciel gris mais franchement on sentait bien que les ténèbres avaient décidé de s'abattre un autre jour. Elles devaient glander à regarder Tina Fey en train de se payer la tête de Sarah Palin sans doute, les ténèbres ! Mais bon, apocalypse ou pas, mes parents chéris pensent à tout en toutes circonstances, et j'avais donc un bon biberon de lait chocolaté qui m'attendait. Ouf ! Je ne sais pas pour la guerre de Troie, mais la fin du monde, elle, n'aura pas lieu. Pas aujourd'hui en tout cas. Tant qu'il y aura des biberons de lait au chocolat, c'est que le monde continuera de tourner comme il faut !
Bref, une fois levé, bichonné, habillé et guilité de la pointe de l'orteil droit au lobe auriculaire gauche, nous revoilà partis en vadrouille avec marraine. Direction : un parc à toboggan/mur d'escalade/balancoires/vomi ... oui... le vomi c'était pas le mien donc on a décidé que ça craignait de me laisser patauger dedans, et comme il était l'heure de récupérer la voiture de location, nous sommes tous partis vers la gare. Là, papa a récupéré les clés du carrosse (6 vitesses et des portes arrière qui s'ouvraient pas dans le sens normal !) et nous sommes partis naviguer dans les sens uniques toulousains. J'ai fait un petit somme et quand je me suis réveillé, les parents avaient transféré leurs (lourdes) valises dans le coffre et marraine partaient retrouver son chéri.
Après quelques hésitations légitimes ("pourquoi le GPS nous dit de prendre un sens interdit ?") et interrogations profondes et existentielles ("Y a pas la voix de Dark Vador pour indiquer la route ?"), nous avons donc pris la route de Montauban (vers le Nôrd !)... que nous avons dépassé (mais c'était voulu !) puis avant de rencontrer des nours polaires (que j'adore ! si vous voulez voir une vidéo de nours, allez ici, je me la passe en boucle, on y voit plein de Nours blancs !!!) nous avons tourné à droite et au bout du chemin... nous avons fait demi-tour (là c'était pas fait exprès, je l'ai bien senti : y avait comme un micro-climat lourd de menaces qui planait soudainement au-dessus du GPS, comme si après toute cette complicité acquise au fil des tournants, cette petite erreur de navigation remettait tout en cause) et sommes arrivés au gite !
Et là, figurez-vous qu'il y avait déjà des gens dedans... papi et mamie ! Ah oui et puis un drôle de chien tout plat qui s'appelle Alya. C'est pratique, elle fait balai en passant... Du coup j'ai fait des câlins, des sourires et des bisous... et j'ai eu peur de la serpillère à pattes... mais bon, pas longtemps.
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| Un autre type de serpillère à pattes... pourvu que cela ne donne pas d'idées aux parents... |
Alors les gites c'est cool. C'est un peu comme l’hôtel mais en mieux parce que je peux crier, courir jouer sans que personne fasse un bruit de cocotte minute (chhhhhhhhut). D'ailleurs j'ai commencé par escalader un fauteuil puis un canapé avant de réclamer un peu à boire. C'est que ça creuse la route !
Bon allez, je vous raconterai la suite plus tard ... que de suspense !
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