Noël 2012 à Toulouse
Enfin Toulouse, c'est vite dit... c'était à Septfonds pour être précis et dans la ferme de Piècelongue même (oui oui, comme une pièce longue... d'ailleurs je vois pas trop pourquoi parcequ'il n'y avait pas vraiment de pièce longue là-bas, ou alors on l'a tous ratée ... enfin moi ce que j'en dis). Mais bon, si vous mettez "Noël à Septfonds" en titre de poste, le pékin moyen ne fait pas le rapport avec "produits du terroir que tu pleures quand tu rentres à Houston parceque y en a pas" ... et puis d'ailleurs on a aussi passé un jour et demi à Toulouse.
Bref, reprenons. Parcequ'avec tous ces errements, on se perd dans les conjectures du plus-que-parfait du pluriel et ça va vous décourager de lire la suite !
Comme vous avez peut-être pu le noter, tous les neurones ne sont pas revenus de notre périple. Surtout papa... le pauvre, je sais pas trop comment ça se fait mais maintenant il ne boit plus que de l'eau. Enfin sauf quand il boit du Champagne ou de la Bud Light pour la galette des rois. Bon je m'égare. On va faire des listes de bidules à dire, histoire de se structurer le discours. (Descartes - de tarot - aurait été super fier)
1- L'odyssée
Bon alors là j'ai été super sympa : j'ai juste pleuré quand on a voulu (et réussi) à m'attacher avec la ceinture orange (moche) sur les genoux de papa, pour le décollage et atterrissage. Par contre du coté des hôtesses et surtout des stewards, c'était moins fun : après quelques heures de vol, les voisins de papa ont décidé d'aller aux toilettes (ah on fait moins les fiers sans couche-culotte, hein !?). Et comme je trouvais quand même que c'était plus rigolo de rester assis, mon papounet m'a fait une papouille, puis deux... et puis vous connaissez la suite, on se fait des bisous, des guilis et que j't'envoie en l'air, puis sur les cotés, et puis sans y réfléchir, vous vous retrouvez à rigoler !!! Quelle erreur ! Comme nous a expliqué le steward : "y a des gens qui dorment !"... Papa a demandé sans rire s'il valait mieux que je pleure... J'ai trouvé que ça serait un peu dommage alors j'ai fait les yeux noirs au steward. Je lui aurai bien fait le monstre aussi, mais bon, comme les voisins étaient revenus, on s'est plutôt assis pour regarder Cars (sur mon Ipod, oui parceque j'ai mon Ipod personnel que mes parents me piquent sans arrêt pour mettre leurs jeux dessus, mais n'empêche... voilà, faut parfois recadrer...). Du coup j'ai voulu laver l'affront en appuyant sur le bouton d'appel (vous savez, y a un bouton sur l'accoudoir qui permet d'appeler les stewards pour leur demander un verre d'eau, un sandwich ou une crème glacée... enfin on peut toujours demander...) mais papa a annuler l'appel (il est super fort papa, il a trouvé le bouton d'anti-appel ! du coup j'ai ré-appuyé sur le bouton d'anti-appel pour faire un anti-anti-appel ... vous suivez? .... mais ça n'a pas marché).
2- Toulouse, l'arrivée triomphale !
Après une courte escale à Paris (qui a failli être plus longue que prévu sachant que nous avions quelques minutes de retard, qu'il faut 20 minutes pour vider l'avion, 10 minutes pour atteindre la douane puis 10 minutes pour atteindre la porte d'embarquement et que notre avion pour Toulouse partait 40 minutes plus tard... et que même si j'ai pas (encore) fait prépa je vois bien que c'est pas gagné d'avance !!!)... après cette courte escale (l'avion avait finalement une demie-heure de retard donc ça allait), nous avons repris l'avion pour Toulouse (pleurs pour la ceinture moche !).
Après cela, comme les panneaux d'affichage disaient "bagages de Paris, aller voir le tapis 5", les parents se sont mis devant le tapis 2, zone 5. Ne voyant pas les bagages, ils ont fini par taper du poing au bureau des réclamations d'Air France (à 300 mètres de là) où une aimable personne leur a expliqué que 5 n'est pas 2, même si des fois, quand on penche la tête, ça peut y ressembler... même moi je le sais ! C'est dans mon livre à compter des barbapapas... Honte sur mes géniteurs adorés.. Bref ! Quelques litres de sueur plus tard, nous voila repartis pour retraverser l'aéroport pour trouver une navette vers l'hôtel qui n'existait pas (la navette, pas l'hôtel !). Donc taxi ! Et là, pas de pot, le taxi ne pouvait pas se garer à coté de l'hôtel : il y avait le marché de Noël à côté et tout était donc bloqué...
Moi, tout ça, ça commençait un peu à me fatiguer. Du coup papa a pris un bain pendant que maman m'endormait doucement dans le grand lit moelleux de l'hôtel !
Comme ça fait déjà beaucoup de texte à lire et que certains d'entre vous vont avoir mal à la tête à force de ne plus savoir lire que des SMS de 20 caractères, on va couper l'histoire en deux... Par contre, pas de récapitulatif comme dans Dallas dans le prochain épisode... faut suivre !
A tout de suite dans le prochain "post". Si vous en voulez plus, regardez mes photo.
Bref, reprenons. Parcequ'avec tous ces errements, on se perd dans les conjectures du plus-que-parfait du pluriel et ça va vous décourager de lire la suite !
Comme vous avez peut-être pu le noter, tous les neurones ne sont pas revenus de notre périple. Surtout papa... le pauvre, je sais pas trop comment ça se fait mais maintenant il ne boit plus que de l'eau. Enfin sauf quand il boit du Champagne ou de la Bud Light pour la galette des rois. Bon je m'égare. On va faire des listes de bidules à dire, histoire de se structurer le discours. (Descartes - de tarot - aurait été super fier)
1- L'odyssée
Bon alors là j'ai été super sympa : j'ai juste pleuré quand on a voulu (et réussi) à m'attacher avec la ceinture orange (moche) sur les genoux de papa, pour le décollage et atterrissage. Par contre du coté des hôtesses et surtout des stewards, c'était moins fun : après quelques heures de vol, les voisins de papa ont décidé d'aller aux toilettes (ah on fait moins les fiers sans couche-culotte, hein !?). Et comme je trouvais quand même que c'était plus rigolo de rester assis, mon papounet m'a fait une papouille, puis deux... et puis vous connaissez la suite, on se fait des bisous, des guilis et que j't'envoie en l'air, puis sur les cotés, et puis sans y réfléchir, vous vous retrouvez à rigoler !!! Quelle erreur ! Comme nous a expliqué le steward : "y a des gens qui dorment !"... Papa a demandé sans rire s'il valait mieux que je pleure... J'ai trouvé que ça serait un peu dommage alors j'ai fait les yeux noirs au steward. Je lui aurai bien fait le monstre aussi, mais bon, comme les voisins étaient revenus, on s'est plutôt assis pour regarder Cars (sur mon Ipod, oui parceque j'ai mon Ipod personnel que mes parents me piquent sans arrêt pour mettre leurs jeux dessus, mais n'empêche... voilà, faut parfois recadrer...). Du coup j'ai voulu laver l'affront en appuyant sur le bouton d'appel (vous savez, y a un bouton sur l'accoudoir qui permet d'appeler les stewards pour leur demander un verre d'eau, un sandwich ou une crème glacée... enfin on peut toujours demander...) mais papa a annuler l'appel (il est super fort papa, il a trouvé le bouton d'anti-appel ! du coup j'ai ré-appuyé sur le bouton d'anti-appel pour faire un anti-anti-appel ... vous suivez? .... mais ça n'a pas marché).
Après une courte escale à Paris (qui a failli être plus longue que prévu sachant que nous avions quelques minutes de retard, qu'il faut 20 minutes pour vider l'avion, 10 minutes pour atteindre la douane puis 10 minutes pour atteindre la porte d'embarquement et que notre avion pour Toulouse partait 40 minutes plus tard... et que même si j'ai pas (encore) fait prépa je vois bien que c'est pas gagné d'avance !!!)... après cette courte escale (l'avion avait finalement une demie-heure de retard donc ça allait), nous avons repris l'avion pour Toulouse (pleurs pour la ceinture moche !).
Après cela, comme les panneaux d'affichage disaient "bagages de Paris, aller voir le tapis 5", les parents se sont mis devant le tapis 2, zone 5. Ne voyant pas les bagages, ils ont fini par taper du poing au bureau des réclamations d'Air France (à 300 mètres de là) où une aimable personne leur a expliqué que 5 n'est pas 2, même si des fois, quand on penche la tête, ça peut y ressembler... même moi je le sais ! C'est dans mon livre à compter des barbapapas... Honte sur mes géniteurs adorés.. Bref ! Quelques litres de sueur plus tard, nous voila repartis pour retraverser l'aéroport pour trouver une navette vers l'hôtel qui n'existait pas (la navette, pas l'hôtel !). Donc taxi ! Et là, pas de pot, le taxi ne pouvait pas se garer à coté de l'hôtel : il y avait le marché de Noël à côté et tout était donc bloqué...
Moi, tout ça, ça commençait un peu à me fatiguer. Du coup papa a pris un bain pendant que maman m'endormait doucement dans le grand lit moelleux de l'hôtel !
Comme ça fait déjà beaucoup de texte à lire et que certains d'entre vous vont avoir mal à la tête à force de ne plus savoir lire que des SMS de 20 caractères, on va couper l'histoire en deux... Par contre, pas de récapitulatif comme dans Dallas dans le prochain épisode... faut suivre !
A tout de suite dans le prochain "post". Si vous en voulez plus, regardez mes photo.


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